L'absence de virgule dans l'ordonnance médicale a causé la mort d'un enfant

Un garçon de 14 mois est décédé après avoir reçu une dose excessive du médicament avec lequel il traitait la tumeur au rein, 10 fois plus élevée. La raison en était une erreur lors de la prescription du médicament, on a administré 165 mg de doxorubicine au lieu des 16,5 mg nécessaires. Les événements se sont déroulés à l'hôpital La Fe de Valence et il s'agissait de la dernière séance de chimiothérapie administrée à l'enfant.

Les parents donnent leur version des faits et indiquent qu’il s’agissait d’une erreur du médecin qui a fait la prescription et nous ne savons pas si dire que "le plus gros" est que après la mort de l'enfant, il a modifié la feuille d'ordonnance pour refléter le coma qu'il n'avait pas écrit. Il a dû administrer 16,5 mg au lieu des 165 mg de doxorubicine que l'enfant a reçus, ce qui l'a fait mourir.. Le médecin a été sanctionné avec un fichier, ce qui est sans aucun doute très léger compte tenu du fait qu'un enfant est décédé des suites de l’erreur. Nous sommes humains et des erreurs nous sont associées, tout le monde fait des erreurs. Malgré les conséquences, si elles sont involontaires, elles peuvent même être comprises, mais on ne comprend pas que l'erreur n'est pas reconnue et que même tente de tromper consciemment pour éviter les responsabilités, cela mérite d'être puni. La santé valencienne ne s'est pas encore prononcée contre ce fait et pour l'instant la résolution judiciaire est attendue.

Malgré le grand respect et l’admiration que nous pouvons ressentir pour tout le personnel de santé et le travail qu’ils accomplissent, de tels faits blessent les vrais professionnels, ils ne font que renforcer la peur des parents devant les actes médicaux et plus encore lorsque les erreurs se produisent. Les médecins ne se reconnaissent pas.